Rénovation énergétique, qui gagne et qui perd en 2025 ?
Les annonces successives concernant la rénovation énergétique ont bouleversé le secteur et laissé de nombreux ménages dans le flou. Ces derniers mois, plusieurs textes publiés au Journal officiel, juste avant la chute du gouvernement Bayrou, ont confirmé des mesures jusque-là communiquées de manière fragmentée. Le secteur, habitué à l’instabilité des dispositifs d’aides, n’avait encore jamais connu autant de changements en si peu de temps.
Face à cette complexité, un récapitulatif des dernières réformes permet d’analyser les impacts concrets pour les particuliers. Qui sont les grands gagnants et les perdants de ces dispositifs ?

Comment s’y retrouver pour maximiser les aides ?
- Les pompes à chaleur sont les grandes gagnantes. Grâce au nouveau calcul des primes CEE, les ménages bénéficient d’aides renforcées, avec un effet particulièrement favorable pour les revenus intermédiaires et supérieurs.
- La rénovation d’ampleur perd de son ampleur. Avec l’abaissement des plafonds, les projets de 60 000 à 70 000 € devront être réduits à 30 000-40 000 €, limitant l’impact énergétique global.
- L’isolation des murs devient moins attractive. Exclue du parcours par gestes dès 2026, cette opération essentielle risque d’être beaucoup moins réalisée, ce qui pourrait freiner la lutte contre les passoires thermiques.
Dans ce contexte incertain, il est conseillé aux ménages d’engager rapidement leurs travaux pour sécuriser leur projet et profiter des dernières bonifications. L’accompagnement par un professionnel expert des démarches MaPrimeRénov’ apparaît également essentiel pour optimiser les financements, simplifier l’administratif et réduire le reste à charge. C’est exactement ce que propose notre société, en accompagnant chaque client de l’audit initial jusqu’à la finalisation des travaux, pour garantir un projet serein et parfaitement financé.